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le calice des unitariens

chaque communauté unitarienne arbore un blason ou un logo. Voici celui des unitariens qui sont regroupés au sein de l'Assemblée fraternelle des chrétiens unitariens (AFCU). Voir sur son site à la rubrique "le calice des unitariens"
http://afcu.over-blog.org/categorie-1186856.html


 

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11 novembre 2011 5 11 /11 /novembre /2011 10:29

Soumission pour les uns, obéissance pour les autres par Jean-Claude Barbier, message au forum « Unitariens francophones » ( lien), du 13 septembre 2010 -

 

Beaucoup de chrétiens reprochent à l'islam de préconiser la soumission, sous entendu aveugle. En fait il s'agit là d'un argument de bien mauvaise foi car il s'agit, dans le cas de l'islam, d'une soumission à la seule volonté de Dieu et non point à celle des hommes. S’il y a souvent dans l'islam confusion entre le sabre et le goupillon, cela vaut historiquement pour bien d’autres religions, à commencer par la chrétienne, dès lors qu’elles sont dominantes. En fait, le musulman doit se détourner d’un pouvoir temporel si celui-ci entre en contradiction avec les commandements divins. Nous retrouvons là la même attitude chez les chrétiens avant que la laïcité ne soit instaurée.
Avec le Notre-Père : "que ta volonté soit faite et non la mienne", les chrétiens disent exactement la même chose. Pire, au sein de l'Eglise catholique, le devoir d'obéissance vis-à-vis de son évêque - et au-delà vis-à-vis du pape -, est formellement requis et donne lieu à un voeux chez les prêtres et chez des religieux. L'islam n'a jamais demandé cette obéissance inconditionnelle vis-à-vis d'une autorité humaine quelconque, pas même vis-à-vis du calife.
Quant à l'obéissance aveugle vis-à-vis des textes, elle existe chez les littéralistes (par exemple chez les salafistes), mais les Ecoles juridiques de l'islam ont, quant à elles, une longue tradition de discussion et d'interprétation des textes afin de faire jurisprudence. On retrouve d’ailleurs ces mêmes littéralistes dans toutes les religions.
Les argumentaires sont bien souvent hypocrites : comme disait Jésus en son temps, il faut d'abord voir ce que l'on a dans l'oeil avant de critiquer les autres. Toute critique vis-à-vis des autres doit être conduite avec rigueur et justice.


Dire Dieu comme on voit un mirage par Richard Roullier, message du mercredi 15 septembre 2010 au groupe « Croissance spirituelle » ( lien),  extrait de son texte « Méditation sur un verset du Qôran  " Ne cesserez-vous de vous construire des merveilles sur chaque colline afin de vous distraire ?" (Qôran) », publié le vendredi 18 avril 2003 sous le nom d’auteur de Abd Al Haqq, sur le site «Les Balladins de la tradition » ( lien).
 

 

Mirage voilà bien un mot dont l'étymologie (arabe) résume mon propos... Chacun de nos concepts n’a pas plus de valeur qu’un mirage vers lequel nous nous dirigeons immanquablement faute d’autre repère pour la vue… L’idée de Dieu ou de divinité est de cet ordre.
Dieu est une des représentations humaines du Tout Autre, de l’Absolu, de Celui qui est… Dieu est une maison que chacun habite et décore selon son goût, sa culture…
Le voyez-vous vieillard barbu sur un nuage ? Le voyez-vous buisson ardent ? Le voyez-vous lumière, Verbe ? Vous le voyez à travers les yeux des histoires de votre enfance, à travers les fenêtres de la maison culturelle que vous habitez, à travers le lieu spirituel sur lequel vous vous tenez ; là où nous nous tenons …
 

 

L’unitarisme au vu de nos bulletins, Lettre de Paul Pistre*, le 12 septembre 2010, à réception des bulletins des mois d’août (n° 106 – Partager ses biens … ») et de septembre (n°107, septembre 2010 – Religion et spiritualité). Paul Pistre (catholique, Toulouse) est éditeur de la « Lettre aux catholiques amis des maçons ».
 

 

«  Je reçois les deux derniers exemplaires de la Correspondance unitarienne. Je parcours avec plaisir et intérêt les numéros. J’admire la persistance et la réflexion de l’auteur, ainsi que l’abondance des réactions déclenchées.
Il me semble que les textes oscillent entre deux tendances : une critique fréquente de l’Eglise romaine, tempérée souvent par des remarques acerbes contre toute institution religieuse, d’une part ; très souvent aussi, par une exaltation du message évangélique ou de Jésus, d’autre part.
Les unitariens seraient donc des esprits religieux se fabriquant eux-mêmes leur propre spiritualité, issue des évangiles, mais où le cadre institutionnel serait réduit à sa plus simple expression.
En supposant que cet effort se poursuive, quels peuvent en être les résultats attendus ? Seule une minorité sera touchée : des êtres au niveau intellectuel élevé, acceptant de se focaliser sur une recherche difficile, privés de rencontres nourrissantes ; des Michel Servet ou Théodore Monod. Demeureront toujours en-dehors les quotients intellectuels réduits, les gens très occupés par famille, profession, vie à gagner, les enfants (à qui on ne dira plus que Dieu = papa, dont les héros auxquels ils ont besoin de ressembler ne comporteront plus le Poverello d’Assise ou saint Vincent de Paul, ni l’abbé Pierre, ou les moines de Tibhlirine), les pauvres en général, ceux à qui Jésus s’adresse en priorité.
Sans institution, aucun message ne sera transmis au grand nombre.
De plus, toute Eglise, en même temps que divine, est une société humaine, porteuse de défauts et de contre témoignages. Pour Péguy, « L’Eglise, c’est un saint et trois pécheurs, et trente pécheurs, et trois cent pécheurs, et plus … ». Demeurons humbles, mais chercheurs de lumière et avançons. Amicalement.

NDLR - notre lecteur réagit surtout à notre article « Religion et spiritualité », lequel faisait la distinction sans toutefois renier les religions. D’ailleurs, le christianisme unitarien est lui-même une confession et possède ses propres institutions, avec une Eglise historique, l’Eglise unitarienne de Transylvanie, datant de 1568 ! Idem pour les congrégations unitariennes-universalistes d’Amérique du Nord qui sont très bien organisées. Nous ajoutons que plusieurs de nos Eglises ont une base rurale, tout à fait populaire, par exemple en Transylvanie (Roumanie), en pays kashi (Inde, partie orientale) et en perspective en République démocratique du Congo (avec les populations pygmées). Notre foi n’est nullement réservée à une élite ; bien au contraire, sa simplicité (par rapport aux multiples dogmes et mystères du christianisme classique) la rend beaucoup plus accessible.

 

Notre mouvance par Jean-Claude Barbier, mardi 14 septembre 2010 au groupe « Croissance unitarienne » (lien),
 

 

Si j'avais à qualifier, avec des mots, notre mouvance unitarienne, je dirai qu'elle est humaniste, libérale, démocratique et fraternelle. Humaniste parce que, pour nous, la religion est au service de l'épanouissement de l'homme et non l'inverse (à la suite de Jésus qui disait que le sabbat était fait pour l'homme et non l'homme pour le sabbat - quel renversement du religieux !). Libérale car c'est à chacun de suivre l'itinéraire de son choix et d'avancer à son rythme et non point aux religions de nous imposer des règles absolues. Démocratique car nous sommes libres d'opter pour la religion ou la spiritualité ou la philosophie qui nous convient. Enfin fraternelle car nos options identitaires et nos engagements individuels ne sont nullement des obstacles à la communication avec autrui, mais bien au contraire nous donnent la possibilité de mieux échanger et de mieux partager avec les autres ; de communier avec eux par des paroles et des gestes ; par notre simple présence aussi (je pense par exemple au silence quaker).
Et comme nous le rappelle si bien Paul de Tarse, sans le dernier mot, sans l'amour mutuel, sans la charité, nous ne sommes que des cymbales d'airain qui sonnent creux ...Je vous embrasse toutes et tous.

 

La voie étroite par Jean-Claude Barbier, message du mardi 14 septembre 2010 au forum des "Unitariens francophones" ( lien),

 

Lorsque l'on est tolérant, modéré, soucieux d'accueillir le travail des autres, de tenir compte des réalités, d'être juste avec autrui, d'avoir une vue d'ensemble des questions, dans leur complexité, alors la voie se fait très étroite. On se heurte très vite aux convictions fortes, entières, aveugles, autoritaires des pro ceci, des pro cela ; des gens qui ont la vérité toute faite, des convictions énormes et bétonnées ; qui écartent d'un revers de main tout ce qui n'entrent pas dans leur (petit) schéma intellectuel, qui n'est pas de leur tribu, de leur ghetto, de leur bande hurlante où les slogans sont de mise.
Que Dieu nous préserve des militants aux convictions bétonnées !
Soyons au contraire ouverts aux autres, ce qui ne veut pas dire non plus accepter n'importe quoi, mais savoir être attentifs aux personnes et aux évènements.


Une Eglise fraternelle par Benhur1942, message au groupe Croissance spirituelle ( lien), le 28 octobre 2010 -

 

« Bonjour. J’apprécie beaucoup l’esprit fraternel et inter chrétien de l’Eglise unitarienne ; malgré sa fragilité elle est forte de son amour ».

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11 novembre 2011 5 11 /11 /novembre /2011 10:15

Article à la Une de Richard Brodesky dans la Correspondance unitarienne (n° 109) de novembre 2011. L'auteur est membre de l'Unitarian Universalist Church of Tucson (UUCT) et du conseil de l'Eglise unitarienne francophone (EUfr).


Les colonisateurs anglais ne se sont pas du tout intéressés aux Amérindiens. Ils ne souhaitaient pas se mêler à eux et il n’y eut pas de relations matrimoniales. Durant cette période coloniale, on trouve dans le Sud, vers la Virginie, des chroniques de voyages mais, au Nord, on ne voit que des sermons ou des plans pour le gouvernement colonial. Une grande exception est bien entendu la poésie d’Anne Bradstreet (1612-1672) dans le Massachusetts.


Thomas Jefferson (1743-1826)* a écrit la Déclaration de l’Indépendance en 1776. Le brouillon était beaucoup plus radical que le document qu’on a ratifié. Ce texte peut être considéré comme progressiste pour son époque, pour satisfaire les Blancs riches, des propriétaires, des hommes souvent déistes qui connaissaient les philosophes français du XVIIIe siècle - mais on peut aussi le considérer comme une œuvre préromantique. En effet, quoique cette Déclaration ignore les droits des Noirs et des femmes, elle nous promet le droit à la vie, à la liberté et à la poursuite du bonheur (« life, liberty, and the pursuit of happiness »). Cette idée qu’on a le droit en principe au bonheur est inédite et elle entraîne ipso facto une conception de progrès, un projet individuel du bonheur et l’espoir qu’on peut être heureux ici sur la terre durant sa vie.


* à noter que Jefferson avait des sentiments unitariens et il s’est même fait une bible « à l’unitarienne », mais il ne fut jamais membre d’une Eglise unitarienne. Sa « bible » - en fait un diatasseron des 4 évangiles – a été traduit en français par Luc Schneider et publié dans La Besace des unitariens à la rubrique « la bible de Jefferson » (lien).
 


Après l’Indépendance, nombre de ceux qui avaient été loyaux aux Anglais sont revenus en Angleterre ou ont émigrés dans d’autres territoires anglais comme l’Ontario, au Canada. Il en est résulté un peu d’espace pour développer la République. Les citoyens américains, devenus indépendants, voulaient vivre dans un nouveau monde, avec un autre système de gouvernement, avec des possibilités de développement liées à une réflexion optimiste sur l’être humain. La guerre contre les Anglais s’acheva en 1812. C’est à partir de cette époque que le romantisme se développa.


D’abord, on constata un continent quasiment vide. On sait aujourd’hui que les microbes européens mirent malheureusement fin à la plupart des sociétés indigènes, mais, à l’époque, les nouveaux citoyens crurent que l’Amérique été là, presque vide, à leur disposition, pour eux. On commença à sortir du littoral atlantique pour coloniser l’intérieur des terres… et on rencontra alors la nature sauvage. En témoigne l’Ecole des peintres du fleuve Hudson (la Hudson River School) qui trouve son inspiration dans la brutalité sauvage des paysages du nord-est des Etats-Unis. Ces peintres sont appelés « luministes » parce que leurs toiles reflètent la lumière à la fois douce et chahutée de ces régions. Le paysagiste Washington Allston (1779-1843) est l'un ces premiers peintres. Egalement dans le recueil de contes de Washington Irving (1782-1859) qui prennent pour cadre les montagnes Catskills dans l’Etat de New York (non loin du fleuve Hudson) : y sont évoqués des indigènes « sauvages », vivant en liberté, ainsi que des descendants des anciens « patrons » néerlandais (premiers colonisateurs de New-York). On commence à se demander comment on doit vivre dans la nature.


Sur le plan religieux, les nouveaux citoyens furent saisis de vagues d’excitation religieuses frénétiques, appelés des « réveils » (awakening). Il y en eut un premier, le « Great Awakening », dans les années 1810, puis un second entre 1820 et 1830. Ces mouvements de réveil réagissaient envers le calvinisme austère qui était le legs des puritains. Leur leitmotiv était que chaque personne fasse quelque chose pour elle-même. Pour ces chrétiens évangélistes, il s’agissait d’accepter Jésus comme son seigneur et son sauveur personnel ; ce qui est très différent d’une élection par prédestination comme chez les calvinistes.


Chez les unitariens, on commença à penser qu’il fallait faire croître son âme. On étudie et on médite ; on fait la charité ; on participe à la vie de la paroisse. On élève son âme en la perfectionnant, en l’enrichissant par de multiples activités durant notre existence terrestre, sans attendre la vie de l’au-delà. Chez les fidèles de l’Eglise universaliste, le pasteur Hosea Ballou (1796-1861) affirme que le sacrifice de Jésus sur la croix a été si rempli de l’amour divin pour l’Humanité que, dès lors, toute personne sans exception est sauvée (d’où la dénomination de cette Eglise puisque, pour elle, le salut est universel). Il s’agit pour nous de vivre de cet amour et de l’exprimer par nos œuvres. Le développement personnel de l’individu par l’élévation de son âme devient la première préoccupation.


Les prêcheurs de cette époque ont adopté un style très passionné ; ainsi en fut-il des pasteurs unitariens Jr. Henry Ware (1794-1843) et William Ellery Channing (1780-1842) ; leurs paroles s’adressaient autant au cœur qu’à l’esprit de leur auditeurs. Ralph Waldo Emerson (1803-1882), fondateur d’un mouvement philosophi-que idéaliste, mystique et panthéiste dénommé le transcendantalisme, formula ce changement dans ses essais, notamment « On Nature » (1836) et « Self-Reliance » (la Conduite de la vie, 1860). Dans ce dernier ouvrage, il avance que chacun est responsable de trouver sa propre voie dans la vie et qu’il faut vivre d’une manière naturelle. Mais c’est dans « Nature », qu’il nous dit que l’homme est capable de louer la Nature et de découvrir en elle ce qu’il appelle l’« Âme du monde » (the world soul). C’est un peu comme le Soi divin chez certains hindouistes. Henry Thoreau (1837-1861), l’un de ses amis, vécut ermite sur les terres d’Emerson, en pleine nature. Emerson encouragea aussi Walt Whitman (1819-1892), notre plus grand poète romantique et dévot. Il y eut aussi l’expérience utopique d’une ferme communautaire, Brook Farm, et les œuvres de la journaliste et activiste féministe Margaret Fuller (1810-1850).


Un autre aspect du romantisme américain chez les unitariens est l’idée qu’il faut protester contre l’injustice, contre la guerre d’agression (par exemple celle des Etats-Unis contre le Mexique 1846-1848), pour les droits de femme et contre l’esclavage.


Grâce au romantisme, les unitariens estiment que leur développement spirituel dépend d’eux-mêmes et non d’une quelconque autorité extérieure. Cela attira nombre d’intellectuels, mais par contre, ne promettant pas la guérison immédiate comme le firent les mouvements de Réveil, les unitariens ne reçurent pas l’appui des couches populaires.


A partir de la philosophie transcendantaliste de Ralph Waldo Emerson, qui invite à une vision d’ensemble de la Nature et de la Vie, l’unitarisme américain va tendre vers une méta religion, sortant ainsi du seul giron chrétien afin d’embrasser toutes les sagesses religieuses et spirituelles du monde entier, en quelque sorte une unité réunissant la diversité des cultures religieuses et spirituelles et exprimant la réalité fondamentale. C’est ce que vise précisément l’unitarisme-universalisme née de la fusion en 1961 des congrégations unitariennes et de l’Eglise universaliste d’Amérique.

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13 mai 2011 5 13 /05 /mai /2011 11:16

message du 13 mai 2011 aux membres du réseau de la Correspondance unitarienne


Depuis sa fondation en octobre 2002, le réseau de la Correspondance unitarienne a diversifié ses activités puisque, aux bulletins mensuels, se sont ajoutés la gestion de plusieurs sites : les Actualités unitariennes et La Besace des unitariens, depuis février 2007, et les Etudes unitariennes depuis août 2009. Tous ces sites sont très bien référencés par les moteurs de recherche, dont Google France. Par ailleurs, le réseau est cofondateur du forum « Unitariens francophones » depuis avril 2005 et en assure la modération.


Ayant eu une hospitalisation et subissant un ralentissement temporaire de mes capacités de travail, le bulletin n’a pas paru depuis octobre dernier. Pour cette activité, je me suis accordé une année sabbatique : le prochain bulletin paraîtra donc en novembre prochain avec le n° 109. Par contre, j’ai pu maintenir le forum (113 membres à cette date et plus de 500 messages par mois) et les sites à un bon rythme de croisière. Les Actualités unitariennes tournent actuellement autour de 200 visiteurs par jour.


Mieux, nous avons développé notre présence sur Facebook, avec une page militante à mon nom où je répercute toutes nos publications et activités, la création d'un groupe « Chrétiens alternatifs », l’ouverture d’une page pour l’Eglise unitarienne francophone – et par ailleurs une participation à la page de l’International Council of Unitarians and Universalists (ICUU) et au groupe « Soyons acteurs d’un véritable dialogue inter-religieux ».


toowoomba_cathedrale_saint_patrick.jpgCette bonne présence sur Facebook, nous a permis de lancer un « événement » qui est une campagne de soutien à Mgr William Morris, évêque australien qui s’est fait virer le 2 mai par le pape Benoît XVI pour avoir oser s’interroger sur un élargissement du recrutement des prêtres diocésains aux hommes et aux femmes mariés, aux prêtres ayant quitté le ministère, et aux pasteurs anglicans et luthériens. Toute proposition, voire toute interrogation à voix haute, est interdite par le Vatican lequel s’enfonce dans un autoritarisme absolu. Dès l’information connue, les Actualités unitariennes ont immédiatement publié un article ; puis nous avons sollicité des réactions en lançant cet événement sur Facebook. Nous vous convions à y participer en nous envoyant votre avis par messagerie ; votre message sera publié dans les Actualités unitariennes.

 

illustration : cathédrale Saint-Patrick de Toowoomba (Queensland, Australie), siège du diocèse de Mgr William Morris

 

Voir nos articles sur ce sujet dans la rubrique « La Contre-Réforme » ( lien) : « Mgr Jacques Gaillot (France, 1995), Mgr William Morris (Australie, 2011) », le 3 mai ; « L’affaire William Morris sur Facebook », le 9 mai ; « Soutien à Mgr William Morris – les premières réactions », le 10 mai.
 
Très fraternellement, Jean-Claude Barbier

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